La prise en charge diagnostique et thérapeutique des maladies de la peau est notre mission principale. À l’heure où la monopolisation de l’esthétique entraîne le déclin de la Nosologie Dermatologique, nous nous concentrons en priorité et par conviction sur la Dermatologie Médicale pour répondre aux besoins du patient. Notre but est qu’aucun diagnostic pouvant conduire à un traitement efficace ne soit raté. De plus, les progrès en Pharmacologie ont de nos jours armé le Dermatologue, d’une façon qui lui permet de contrôler efficacement une multitude de maladies auparavant opiniâtres, telles que l'acné, la dermatite atopique, la dermatite séborrhéique, la rosacée, l'eczéma/dermatite atopique, le psoriasis, l'urticaire dans ses formes diverses (chronique idiopathique/spontanée, cholinergique, etc.), le vitiligo, le lichen plan, le lichen scléreux-atrophique, la teigne, la pelade, l’hidrosadénite suppurrée, etc.
Notre objectif est d'ouvrir ce nouvel « éventail » des soins à toutes les personnes souffrant des dermatoses chroniques. Les nouveautés médicamenteuses en dermatologie, éclipsées au moins en partie, par la domination de la médecine esthétique dans les cabinets privés sen ville, soit restent mal connues du grand public concerné, soit sont considérées comme l'exclusivité d’un parcours de soins hospitalier pur. Et pourtant, au cours des cinq dernières années, on a assisté à une cosmogonie sans précédent dans le traitement du psoriasis, du vitiligo, de la pelade et d'autres dermatoses inflammatoires, qui a radicalement changé la vie de nombreux patients en Europe occidentale, en Amérique, au Japon, en Corée du Sud, Israël et ailleurs. Un cabinet privé de dermatologie athénien qui souhaite être à l’avant-garde dans la prestation de services médicaux doit adopter ces nouveautés thérapeutiques.
Le fait que le médecin fut entièrement formé en France en tant qu’interne des hôpitaux, l’exercice entre la Grèce et la France (cabinet médical du 29 av de Suffren, 7 ème arrondissement de Paris), ainsi que de ses activités académiques (principalement l'étude de la gale et des maladies auto-immunes), garantissent un savoir constamment mis à jour.
Le rôle du dermatologue en tant que clinicien digne de ce nom, outre poser un diagnostic et prescrire un traitement, comprend la capacité d'éduquer le patient et son environnement sur la maladie, ses causes etc (côté pédagogique du dermatologue). En tant que tel, le médecin écoute le patient, analyse le retentissement psychologique que la maladie exerce sur lui/elle, dissipe les préjugés du patient sans critiquer.
Sur le chemin où la Dermatologie croise la Rhumatologie et la Médecine Interne, se révèle l’importance de la dimension clinique de notre spécialité.
Le dermatologue est formé à reconnaître les manifestations dermatologiques d'une maladie auto-immune, d’une hémopathie, ou d’un problème oncologique sous- jacente, comme cela arrive parfois dans les cas de lupus érythémateux systémique, de diverses formes d'arthrite, de divers lymphomes, des maladies intestinales inflammatoires (MICI) et d'autres maladies systémiques.
Des éruptions d’allure banale qui ne sont pas censées interpeller une personne qui n’est pas qualifiée en dermatologie, s’avèrent parfois agir en tant qu’annonciateurs des maladies systémiques majeures. Le dermatologue doit être avant tout un clinicien « vigilant », un praticien ayant un « œil » inspecteur entraîné !
Les maladies cutanées infectieuses sont causées par des micro-organismes tels que des bactéries, des champignons, des parasites ou des virus et sont potentiellement contagieuses. Les maladies les plus courantes de cette catégorie sont indiquées, à titre d'exemples :
* Nous avons une grande expérience dans le diagnostic et le traitement de la gale humaine qui fait l'objet de la thèse en philosophie du docteur. Dr Dimitriadis a contribué à la mise en œuvre de protocoles français pour faire face à l'afflux de gale dans des établissements médicalisés d’hébergement pour personnes âgées dépendantes dans le bassin de l’Attique.
